Le Bureau d’enquête du Journal de Montréal rapporte qu’il y a presque deux fois moins d’ambulances disponibles pour intervenir à Laval et à Montréal, une diminution importante depuis 4 ans. Le manque d’ambulances à Montréal et Laval augmente le temps de réponse des paramédics. C’est la population qui paie le prix de la mauvaise organisation des services ambulanciers.
La FSSS-CSN dans les médias:
- TVA, Urgences-santé: le nombre d’ambulances disponibles en chute libre
- Urgences-santé: le nombre d’ambulances disponibles en chute libre | JDM (journaldemontreal.com)
- Qub radio avec Richard Martineau: Manque d’ambulances: »c’est un problème de gestion, il faut l’adresser »
- Émission Sans réserve avec Luc Ferrandez – 98,5 FM: Le nombre d’ambulances en baisse à Montréal et Laval
«Lorsqu’on choisit d’être paramédic, c’est un choix qu’on fait sachant dans quoi on s’embarque. C’est sûr qu’au départ, on sait que la profession va être difficile. Les scènes dans lesquelles on est exposés peuvent être aussi difficiles; on est prêt à fournir des efforts supplémentaires, par exemple dans le cadre d’une pandémie, un verglas, une tempête. Mais lorsque ça s’inscrit dans l’organisation du travail, puis dans le déséquilibre entre la demande et les services rendus, les gens quittent tout simplement parce qu’ils deviennent exténués.» Réjean Leclerc, président de la Fédération de la santé et des services sociaux, affiliée à la CSN